Projet Intimement Application

 
Je suis Elodie Vincent, sexologue installée depuis 2 ans.

La sexologie, du latin sexo logos est la discipline où l’on parle de sexe. Et je dis bien l’on parle, c’est avant tout une pratique de la parole libératrice telle qu’on peut le vivre en psychanalyse.

La personne qui a un trouble sexuel de type baisse ou perte de l’érection, serrement voir douleurs vaginales, pendant un rapport, baisse de désir, peurs, etc dont l’éjaculation précoce, vient me voir et nous en discutons pour trouver ensemble les solutions pour s’en sortir !

Je suis passionnée par l’humain et par la notion d’intime. Intime, cela signifie, de son origine latine, en dedans, au plus profond de toute chose.

L’application proposée s’appelle Intimement Application, il s’agit donc d’une application qui va vous permettre, au fil de son utilisation, d’explorer votre profond, ce que vous n’êtes pas encore allé chercher de vous même.

Il s’agit au départ de proposer une application mobile dédiée à une information sérieuse, professionnelle, et en français sur la sexualité, le couple, la séduction, l’intime et surtout la prévention en terme de santé sexuelle.

Pourquoi ?

Une spécificité a vu le jour : l’éjaculation précoce. En effet, avec plus d’un patient sur 3 concerné par l’éjaculation précoce, nous sommes sans cesse en train de chercher des outils efficaces pour les aider.

J’ai pu remarqué que plus nous proposons des exercices de manière régulière et plus la personne apprend à se connaître, à noter rigoureusement les changements dans sa vie intime et dans son corps, ses émotions etc, plus on parvient à affiner le ressenti et donc à maîtriser les phases d’excitation.

Hors,loin d’avoir la vie paisible des cerfs ou des moines taoïstes qui eux sont dans une pure connexion avec eux-même et notamment considérés comme ceux qui maîtrisent le mieux leur énergie sexuelle, nous avons besoin de motivation, de régularité et d’accompagnement.

Pour le yoga c’est la même chose, plus on obtient de la régularité et un suivi personnalisé,plus on parvient à aller plus loin !

Je propose donc de se connecter chaque jour et de noter tout ce qu’il se passe comme on le ferait en séance et en débriefing des exercices, mais avec la dimension plus intime de pouvoir ajouter des notes personnelles etc..

Le principe est le même que l’application de sympthothermie « Maya », que je trouve fonctionnelle et intéressante pour repérer ses fenêtres de fertilité notamment !

Comment ?

Avec la collaboration de « Commercialement », agence de communication locale qui a de suite collé au projet.  Ce seront des abonnements à la semaine, puis au mois qui seront proposés.

Les tarifs ne sont pas encore fixes, car cela dépendra au départ du nomre d’inscriptions et des frais de gestions.

J’aimerais y ajouter une dimension locale et partenariale, en ayant des annonceurs et des publicités exclusivement d’entreprises et structures locales, c’est à dire de la grande région Rhônes Alpes Auvergne !

Ma démarche sur le local a tout son sens au sein de mes activités, car justement en incitant à « consommer » local, on apprend pas à pas à regarder et apprécier nos ressources de proximité, dans tous les domaines, avant de créer de la pollution en pensant trouver de l’herbe plus verte plus loin mais qui, une fois arrivée devient noire par exemple !

Dans l’application on trouvera :

un volet infos sexo avec plusieurs articles sur la sexualité

• notamment une partie handi avec des astuces, conseils etc selon le type d’empêchement présent
• une partie couple hétéros
• une partie couple homo
• une partie payante femmes
• une partie payante hommes

un accès messagerie instantanée qui permet de se retrouver, avec une limite d’échanges selon le cadre fixé lors de l’abonnement.

Des offres des partenaires ( exemple 30 % chez Franck Petit naturopathe)

des propositions pour des ateliers, des conférences en lien avec la pathologie exprimée et les besoins de chacun.

Le but ?

A terme, créer une communauté sur un trouble sexuel particulier et pouvoir avoir des données régulières et nombreuses permettant des recoupements à étudier avec une équipe afin de faire évoluer la recherche souvent délaissée sur le domaine du plaisir et de la sexualité.

Il s’agit aussi de se placer parmi les choses que téléchargent les jeunes afin de faire de la prévention.

La suite serait de pouvoir créer de vraies réunions ou de vrais moyens d’entraide des personnes ayant un même trouble sexuel.

Souvent le problème de la phase qui permette de passer le cap d’aller consulter chez le sexologue est de se sentir seul!le partage et le fait de se rendre compte que tout le monde vit un peu les mêmes choses rassurent et permettre de se sentir légitime !